En route

Article du 18 mars 2024 au 24 mars 2024

Du travail

Notre semaine débute avec un second entretien pour travailler en station de ski. Nous sommes encore en auberge de jeunesse et nous n’avons pas trouvé d’endroits plus calme que la cage d’escalier pour cette visioconférence, ce qui ajoute un peu de stress.

Cette fois-ci, c’est un véritable entretien en face-à-face, et Mav se lance la première. Au final, la seule question qui nous sera posée est d’expliquer à nouveau nos motivations pour ce poste. Le reste de l’entretien consiste à expliquer toutes les modalités du travail, ce qui nous met plutôt en confiance pour le décrocher. Mais lors de la conclusion, nous sommes prévenus que le processus de recrutement vient seulement de débuter et nous devons demander à deux références professionnelles de remplir un formulaire avec des questions sur notre éthique.

Le lendemain, Clem reçoit un mail lui proposant de signer son contrat ! Quant à Mav, elle n’a rien reçu, mais nous ne sommes pas très inquiets, car elle n’a pas encore eu les deux réponses de ses références. Il faudra attendre 3 jours pour qu’à son retour elle reçoive son contrat. Nous prenons le temps de lire toutes les clauses puis nous signons.

À partir du 10 juin, nous travaillerons en tant qu’agent d’entretien en station de ski jusqu’à mi-octobre. Nous sommes très heureux de cette nouvelle, qui nous sécurise 4 mois de travail en plus de pouvoir skier gratuitement sur nos jours off !

Une banque

Avoir un travail, c’est bien, mais recevoir sa paye, c’est encore mieux, et pour cela, nous avons besoin d’un compte en banque.
Mav avait lu dans des blogs que la banque ANZ était la plus choisie par les backpackers, car c’est celle qui était moins contraignante en termes de justificatif de domicile à fournir. Cependant, nous avons effectué une demande d’ouverture de compte, il y a déjà presque 2 semaines et nous attendons toujours qu’un rendez-vous en agence nous soit donné alors que la réponse à notre demande aurait dû prendre entre 5 à 7 jours ouvrés. De plus, nous apprenons dans le mail de réponse que nous devons fournir d’autres éléments et la vérification de nos informations ajoutait un délai supplémentaire de 10 jours. Nous avons un peu perdu patience.

En rencontrant d’autres backpackers, nous leur avons demandé quelle banque ils ont choisi, et tous nous ont répondu KiwiBank. Ils nous expliquent que les justificatifs sont aussi simples, et que le compte en banque est ouvert dans la journée.
Nous avons donc rempli un formulaire en ligne, et en une dizaine de minutes nous avions un numéro de compte. Il ne nous restait plus qu’à faire vérifier notre identité dans une agence, et c’est très simple. Il suffit de venir avec son justificatif de domicile et son visa imprimés, et son passeport. Une fois la vérification faite, une carte Visa Electron nous est directement remise en attendant de recevoir une carte VISA.

Un toit

Cette semaine, tout s’accélère, nous récupérons également notre van !

Le garage où nous l’avons acheté commence les travaux dès lundi et nous envoie quelques photos du chantier, ce qui rend le projet vraiment concret, et attise notre curiosité.
Plusieurs sentiments se mélangent en nous. Un mix entre excitation, stress et une pointe de peur.
Est-ce que nous avons fait le bon choix ? Est-ce nous n’avons pas acheté un van et dépenser autant d’argent sur un coup de tête ? N’aurions-nous pas dû attendre d’en visiter d’autres ?
Bref, beaucoup d’incertitudes, et comme souvent dans la vie, il n’y a pas de solution parfaite.

Récupération du van

Viens jeudi, nous faisons nos sacs (pour la dernière fois avant un moment 🤞) et nous partons en direction du garage.
En 3 jours, nous sommes choqués de ce qu’ils ont réussi à faire, c’est vraiment incroyable, on ne reconnaît plus l’intérieur. Nous leur avons même demandé de faire une tablette pour poser notre ordi et regarder des films le soir, ils l’ont installé sans problèmes.
À l’intérieur, on découvre également des petits chocolats de Pâques, ce qui ravit Clem qui avait peur de passer Pâques sans lapin Lindt, tradition qui lui tient à cœur.

Il y a cependant eu quelques couacs en termes d’administratifs.
Pour le paiement, il était prévu que nous utilisions l’application Wise, qui permet de transférer de l’argent internationalement. Comme nous n’avions jamais utilisé ce genre d’outils, nous n’avons pas bien connaissance de son fonctionnement. Au final, un virement de banque à banque a fait l’affaire.

Nous apprenons aussi que nous devons revenir le lendemain, car notre véhicule est certifié Self-Contained (la certification qui nous permet de camper gratuitement), mais l’inspecteur n’a pas réussit à imprimer la carte à temps, et il ne l’aura que demain.

Enfin, pour que le véhicule nous appartienne définitivement, il est nécessaire de remplir un formulaire et de le faire valider par un agent de poste. Malheureusement le changement du mode de paiement au dernier moment nous a fait perdre pas mal de temps, et la co-gérante se rend compte à 16h50 que le bureau le plus proche, à 10 min en voiture, ferme à 17h.
Heureusement, l’employé de la poste n’était pas encore parti malgré que son guichet soit fermé. Il est ainsi resté pour nous servir, ce qui nous change radicalement de la France.
Bon, au final le véhicule n’a pas pu être enregistré car la personne chargée du contrôle technique n’a pas rentré les informations dans le système. Comme nous devons revenir demain, on se dit que ce n’est pas si grave.

Après toutes nos péripéties administratives, le temps est passé, et la co-gérante doit récupérer ses enfants à l’école. De notre côté, nous devons nous aussi partir car la journée est encore loin d’être finie. En effet, le van est aménagé avec des meubles, mais ces derniers sont presque vides. Nous avons le strict minimum, un frigo, une cuisinière portable, couverts et assiettes.

Alors on met nos sacs à l’arrière, et c’est parti pour acheter tout ce qui nous manque, direction un genre de Gifi, mais version XXL et ouvert 24/24 (vous avez bien lu).

Nous achetons poêles, casseroles, oreillers et draps. Nous ne trouvons malheureusement pas tout du premier coup, et nous choisissons de passer dans un autre magasin, mais de la même enseigne. Nous trouvons tout ce dont on avait besoin, dont une couette bien chaude, et nous sortons à 21h.

À cette heure-ci, nous avons faim, mais pas de gaz ni de nourriture, et plus rien n’est ouvert, sauf les fast-foods. Alors nous nous arrêtons dans une chaîne de burger local.
Comme nous n’avions pas envie de dormir dans des draps pas lavés, nous nous arrêtons dans une laverie, et pendant que les machines tournent, nous dégustons notre repas.

À 00h, nous partons en direction du camping gratuit le plus proche, qui est à 1h de route.
Pendant le trajet, nous nous rendons compte que le chemin est rallongé à cause de travaux nocturnes alors que nous sommes crevés. La journée à été longue, nous sommes au milieu de la campagne, au beau milieu de la nuit, et nous remettons en question nos choix de vies. Nous rêvons d’être dans notre lit, bien confortable après avoir pris une douche chaude.
Mais ce n’est pas vraiment le programme, nous nous garons sur un parking déjà rempli de voitures, vans et camping-car. Nous sommes quand même contents d’arriver, notamment Mav qui a été la pilote nocturne, alors qu’elle n’avait jamais conduit de van, et encore moins à gauche 👏.
Notre petit réconfort, nous le trouvons grâce à nos fenêtres supplémentaires qui nous permettent de nous endormir en voyant les étoiles, et ça, c’est plutôt chouette.

Le lendemain, nous retournons à Auckland, mais nous ne pouvons pas récupérer la vignette avant 20h30. Avant de faire à nouveau une session shopping, pour finir d’acheter ce qui nous manque, notamment du gaz, nous profitons de prendre le petit dej devant le lac, à côté de là où nous avons dormi.
Comme nous sommes à la campagne, sur le chemin nous voyons même nos premier moutons et nous rendons compte de la beauté naturelle des paysages.

Parmi ce que nous n’avons pas acheté hier figurait un support pour mettre notre téléphone et permettre au conducteur d’avoir accès facilement au GPS. C’était sans compter sur le fait que le vendeur, à qui nous avons expliqué que le modèle que nous avions pris n’allait pas sur notre voiture, a cassé une buse d’aération en essayant d’installer lui-même le support.

Il s’est confondu en excuse, et nous a offert gracieusement n’importe quel autre modèle de son magasin. Nous avons préféré opter pour un qui se fixe sur le tableau de bord, et en bonus, il nous a également donné plein de porte-clés où était écrit des dictons bienveillants. Nous les avons ainsi accrochés avec nos clés, en espérant qu’ils nous portent chance.

Après une longue journée à retourner à Auckland et à faire le tour des magasins pour finir de s’équiper, nous sommes très fatigués, et l’idée de refaire 1h de route pour dormir nous épuise déjà.
Heureusement, en discutant avec les vendeurs lorsqu’ils nous remettent notre certificat self-contained, nous apprenons que nous pouvons dormir sur un parking qui est à 5 minutes. Nous en profitons pour leur expliquer que le rétroviseur gauche, le plus important ici, ne reste pas en place lorsque l’on prend l’autoroute. Comme ils n’ont pas de tourne-vis sur eux, nous devons repasser à leur garage demain matin pour le resserrer.
Exténués, nous prenons à nouveau un repas à emporter, car nous n’avons pas la force de cuisiner.

À 5h50 du matin, nous sommes réveillés par quelqu’un qui tape sur notre van. Un peu pris de panique, et avec la tête dans le c*l, nous voyons une lampe qui nous éclaire. Qu’est-ce qu’il se passe? C’est la police ?
C’est en fait, c’était la sécurité qui nous informe que nous devions partir dans 10 min. Un événement avait lieu dans le parc à côté, et le parking servait aux bénévoles.
En s’asseyant sur les sièges, Clem s’aperçoit qu’il y a de l’eau qui s’écoule à l’intérieur depuis le pare-brise. C’est difficile de décrire ce que nous ressentons à 6h du matin, à l’autre bout du monde, avec un achat à plus de 10 000€ qui prend l’eau.
Notre rendez-vous au garage était à 9h, nous expliquons notre problème au gérant qui utilise du silicone dans les coins du pare-brise pour essayer de fixer le problème. Il nous resserre également le rétroviseur.

Après cela, nous quittons rapidement Auckland et visitons un peu la région de Coromandel.
Plus tard dans la journée, nous nous rendons également compte qu’un des plans de travail glisse, et n’est donc pas fixé correctement.
Et le pompon, c’est qu’en fin de journée, en nous garant pour dormir, nous constatons qu’un cache en tissu s’est décollé, en le retrouvant sur le lit. Ce n’est pas grave, comme tout le reste, le van avance encore, mais cela commence à faire beaucoup.
À ce moment nous doutons un peu de notre achat. Nous avons choisi un pro en se disant que tout l’aménagement serait bien fait, mais nous découvrons de jour en jour, voire d’heure en heure, de nouveaux défauts, minimes certes, mais qui nous font peur car ils pourraient être le reflet de problèmes plus graves que nous ne voyons pas. Nous essayons de relativiser, mais nous devenons presque paranoïaques en se disant que le prochain problème sera peut-être mécanique.

Ah oui, et le gaz que nous avons acheté, pour lequel nous avons demandé conseil à un vendeur, ne fonctionne pas avec notre réchaud, nous mangeons donc froid pendant 3 jours.
Dimanche nous arrivons enfin à trouver le modèle de bouteille qui nous convient, et nous allons la remplir dans une station essence, car ici les bouteilles de gaz de 3L sont vendues vides.

Bien sûr, le camping entraîne quelques galères. Mais là nous avons vraiment l’impression d’être malchanceux. Nous relativisons en se disant que ce n’est pas des problèmes graves, qu’il vaut mieux les avoir maintenant plutôt qu’en plein hiver, et que les proprios du garage où on a acheté le van nous disent qu’ils vont tout payer, mais nous restons contrariés.
Nous avons donc le temps d’appeler nos parents ce qui nous permet de relativiser et de rire de nos galères.

Sorties de la semaine

Malgré la poisse de cette fin de semaine, nous avons quand même pu visiter un peu les environs.

Rangitoto Island

C’est notre première sortie hors de la ville depuis 20 jours et la nature nous manque.
Nous prenons un ferry à 9h30 pour rejoindre l’île qui se trouve à quelques kms d’Auckland. La météo est au rendez-vous, avec un magnifique ciel dégagé. Il ne fait pas trop chaud, mais nous prenons quand même le soin de nous crémer, le soleil étant très puissant.

En commençant notre randonnée vers le sommet, nous nous rendons compte à quel point la nature nous avait manquée.
L’île étant un ancien volcan, nous retrouvons donc le paysage volcanique que nous pensions avoir laissé derrière nous à Hawaï.

Par contre nous avons l’impression d’avoir perdu en cardio, ou peut-être que c’est les néo-zélandais qui sont plus sportifs que les américains, car on se fait doubler par deux personnes, chose qui n’est jamais arrivée en 1 mois à Hawaï.
Cependant, plus le dénivelé est important, plus nous rattrapons ceux qui nous ont doublé et il faut avouer que cela nous rassure un peu.

Durant notre ascension, nous sommes accompagnés par de nombreux oiseaux qui chantent, mais qui se cache dans les arbres. Le chant du Tūī ressemble aux sons de R2D2 dans Star Wars, ce qui nous amuse. Nous remarquons également qu’il y a des pièges, avec un œuf comme appât, pour attirer les furets d’après Clem.

Au sommet, la vue est à couper le souffle. Nous restons là plusieurs minutes a observer la beauté du paysage, à l’horizon, nous avons le choix entre des chaînes montagneuses ou bien l’océan.

Nous redescendons par des petits chemins, et nous avons l’impression que la faune se dévoile.
On dirait qu’un premier oiseau se moque de nous avec son chant, un deuxième se pose juste à côté de nous sur la rambarde, et un troisième, tout vert, qui ressemble à un perroquet sorti tout juste d’une volière, passe devant nos yeux à toute vitesse.
Puis un peu plus loin sur le chemin, c’est un groupe d’oiseau, un peu gros et très mignon, que l’on dérange durant le repas. Nous sommes subjugués.

Nous terminons au pas de course pour ne pas louper le ferry retour. Nous passons tout de même dans des lava cave qui nous ont un peu plus impressionnés qu’à Hawaï, car elles étaient plus étroites.

Waiheke Island

Pour cette visite, nous ne sommes pas seuls. Laura, que nous avons rencontrée en auberge, ainsi que 3 autres francophones, Tim, Adèle et Noah (ces deux derniers sont belges) qu’elle a rencontré dans l’auberge, nous rejoignent au port pour découvrir cette île connue pour ses nombreux vignobles.

Pour se déplacer sur cette île plus grande que Rangitoto, nous avions réservé un bus hop on hop off.
Notre premier stop était la Baie d’Onetangi que nous avons beaucoup aimé de par sa grandeur, et les falaises sur la droite qui donnait plus de caractère au paysage.

Le deuxième stop était Batch Winery, un vignoble en hauteur, offrant un joli panorama sur l’île.
Nous avons pu admirer cette vue incroyable tout en déjeunant. Clem et nos nouveaux amis ont dégusté un chardonnay très bon.

Pour la digestion, nous sommes allés voir des cascades, et nous nous sommes baladés un peu aléatoirement sur l’île.

Nous souhaitions goûter un vin rouge, ce que nous nous sommes empressés de faire au Mudbrick Vineyard, face à un soleil couchant. Des gens sympas, un cadre incroyable, tout était parfait.

Après avoir fini la bouteille, nous nous sommes rendu compte que les bus ne passaient plus, alors nous avons rejoint le port à pied en 45 min.
En arrivant, pas de bateau avant 1h15, ce qui ne nous a pas plus dérangé que ça, car ça nous a permis de continuer de discuter.

En effet, nous avons vraiment passé la journée à parler plus qu’à visiter finalement !
Nous avons échangé sur nos parcours de vie et les challenges qui nous ont construits, mais aussi beaucoup rigolé sur les expressions spécifiques à chaque pays, voire régions, alors que nous étions tous francophones, et de pays frontaliers. C’était des discussions hyper enrichissantes et profondes, que l’on a rarement durant les premières heures qui suivent une rencontre plus classique.
Se lier d’amitié en voyage est particulièrement spécial. Le caractère temporaire de la relation la rend plus intense, et peut-être aussi plus honnête et sincère, comme si nous n’avions pas de temps à perdre. C’est toujours particulier de s’attacher éphémèrement, mais ce n’est pas moins enrichissant.

Partir d’Auckland

Après avoir réglé tous nos problèmes avec le van, nous sommes directement partis d’Auckland, ville que nous n’apprécions pas forcément.

Nous avons premièrement rejoint Hunua Falls à 1h de route.
Même si nous avons fait contrôler nos sacs à l’aéroport par les agents de la biosécurité, le nettoyage de nos chaussures est encore systématiquement nécessaire avant de marcher en forêt. Nous devons donc passer dans une « station de nettoyage » pour pouvoir accéder à la cascade. Voici la procédure.

Ensuite, direction l’est pour découvrir le parc forestier de Coromandel. Cette partie de l’île n’est pas des plus accessible car la route était sinueuse. Nous avons cependant beaucoup aimé les points de vue qu’elle nous offrait.

New Chums Beach

Mav avait lu que pas très loin il y a une plage parfois élue parmi les 10 plus belles plages du monde. Alors ni une ni deux, on se chausse pour entamer une marche de quelques km.

En arrivant devant le départ de la randonnée, nous nous heurtons à notre premier obstacle, la marée. L’océan nous barre le passage en s’infiltrant sur la plage. Le seul moyen que nous avons trouvé, est de traverser cette espèce de ruisseau en courant, au moment où les vagues se retirent. Sans grand succès, nous avons sous-estimé la profondeur et avons trempé nos chaussures. Clem décide donc de poursuivre pieds nus.
Le chemin n’est pas balisé, nous supposons que la suite continue le long de la côte sur les rochers. Jusqu’au moment où il n’y a plus de rochers.
Nous avons dû nous frayer un chemin et remonter dans le bush pour essayer de trouver le passage plus conventionnel. Avec joie, nous trouvons un panneau qui nous rassure et indique que nous avons récupéré le chemin.
Nous grimpons encore un peu plus pour découvrir la beauté de cette plage courbée, parfaitement intacte et couverte de sable doré.

Anecdote bonus de la semaine

Clem a craqué et a acheté un maillot des All Blacks qu’il ADORE porter.

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Commentaire(s) à propos de "En route"

  • Victor le 07/04/2024 20:39

    Felicitations pour votre achat! Il y a malheureusement quelques désagréments mais je suis certains que lorsqu’ils seront réglés vous apprécierez votre petit cocoon et que toutes les nouvelles aventures que vous allez vivre grâce à lui vous feront oublier ces moments difficiles.
    En tout cas, les premières escapades que vous partagez avec lui vous donnent déjà un grand sourire.
    Bonne route!

  • Catarino le 07/04/2024 21:18

    Toujours aussi heureuse de vous lire et même si tout n’est pas simple vous découvrez ce beau pays et faîtes de belles rencontres. 🥰

  • VIDAUD Nathalie le 07/04/2024 21:29

    Belles suites d’escapades 🌈
    Bravo pour le job. 😍
    Nathalie 🌍

  • Maryline le 21/04/2024 16:17

    Bravo pour le van et les jobs! Heureusement que vous vous êtes aperçus rapidement des petits problèmes, vous pouviez facilement retourner chez les vendeurs, et heureusement aussi que c’étaient des professionnels sinon vous auriez dû vous arranger par vous même. Vous voilà prêts pour une nouvelle phase de votre voyage. Je suis impressionnée par toute l’organisation qu’il y a dû avoir en amont. Merci pour vos partages, c’est extra de nous faire « vivre quelques instants » et nous rapproche de vous.