Hawaï – Kauai la magnifique ⛰️

Article du 23 février 2024 au 25 février 2024

Après l’effort le réconfort

Nous avons plutôt bien dormi. La tente est immense et Clem peut enfin retrouver la place pour ses jambes qui lui manquait dans le van. Mav le regrette un peu car le matelas est fin, et il est posé directement sur le support de la tente.

Nous nous levons avant 7h car nous avons une réservation au milieu de la journée, et nous voulions faire la randonnée, prévue hier, aujourd’hui. Nous en profitons pour voir le lever de soleil, sans grande attente, car nous pensions ne pas le voir à cause des nuages et de la position de la plage un peu en retrait. Nous sommes donc bien surpris, en levant la tête, de voir un ciel coloré.

Après avoir galéré quelques minutes pour ranger la tente, nous y arrivons et prenons notre petit-déjeuner, face à l’océan.

Un peu avant d’arriver au départ, la route est en train d’être refaite, et il n’y a plus personne devant ni derrière nous. Nous nous assurons d’être sur la bonne route, et allons nous garer à côté de la seule voiture sur le parking.

Dès le début de la randonnée Mav a mal au ventre, les règles sont pas loin. Sans raison, nous avons cependant un peu de mal à respirer.
La randonnée est quand même plutôt sympa, nous offrant des jolis points de vue sur une forêt vierge.

⚠️ Arachnophobes, la suite est plus bas ⚠️

Aux 3/4 de la montée, nous empruntons un chemin et tombons sur une d’araignées noir, rouge, blanche et tâcheté de jaune. La toile n’est encore qu’un fil, alors avec courage, Clem la casse avec sa gourde. En continuant, nous passons en dessous d’une énorme toile qui bloquait le chemin. Le chemin se rétrécit de plus en plus et en regardant sur notre portable, nous nous rendons compte que nous nous sommes trompé.

Quelques centaines de mètres après avoir repris la bonne voie, nous retombons sur une énorme toile que l’on ne peux cette fois-ci pas traverser sans la détruire et nous estimons que la randonnée ne vaut pas le coup de casser le lieu de vie de ces araignées qui nous font aussi peur. Rien n’est mentionné, mais sans réseau téléphonique, nous ne prenons pas de risque.

⚠️ C’est bon on parle plus d’araignées ⚠️
Sur le retour, comme d’habitude, nous croisons plein de randonneurs, alors que nous étions seules à l’aller. Nous commençons à croire que c’est toujours comme ça.

De retour à la voiture, direction le nord de l’île, avec un petit stop pour voir une cascade depuis le point de vue.

Nous avons réservé une navette à 12h pour nous rendre à Ha’ena State Park, car malheureusement nous n’avons pas pu avoir de places de parking puisqu’il y en a très peu, et qu’elles sont réservables 60 jours à l’avance. Comme il y a deux mois le programme quotidien n’était pas prévu, nous avons donc dû payer 40$/personne… ça nous fait mal.
Nous avions prévu de manger en attendant le bus, malheureusement il y a énormément de travaux sur l’île et qu’une route. Nous sommes donc arrivés avec seulement 15 min d’avance sur les 30 prévues. Nous avons donc dû nous dépêcher de faire les sandwichs et Mav de se changer, pour avoir notre navette à 2 minutes près !
La navette nous dépose au parking, que l’on découvre à moitié vide, ce qui nous agace un peu car sur le site de réservation, le prix du parking + de l’entrée du parc, qui était 4 fois moins chère, était complète.

Nous commençons la randonnée qui est qualifiée comme la plus belle de l’île, alors on a hâte de voir !
Il est vrai que dès le départ, comme on longe la côte et les falaises, nous avons une vue plongeante sur l’eau turquoise au travers des branchages.
Au bout de seulement quelques centaines de mètres Clem sent toujours la fatigue.
Au 1/4 de la randonnée, nous nous arrêtons pour admirer la vue avec la montagne à côté et devant nous, et l’océan à perte de vue. Petit check de Clem pour voir s’il y a des baleines, mais nous les voyons toujours sur la partie sud-ouest des îles. Nous croisons également les premiers trekkeurs. En effet, nous marchons les premiers kilomètres d’un trek de 3 jours qui remonte la côte Na Pali.
Avant d’arriver à Hanakāpī‘Ai Beach, notre lieu de déjeuner et aussi point de demi-tour, il nous faut traverser une rivière. C’est un moment un peu sportif, mais la traversée se passe assez bien.
La plage est magnifique. Nous ne pouvons pas nous y baigner, car les vagues se jettent contre les rochers pour façonner la côte, mais nous apprécions la vue.

Le retour est plus difficile, notamment pour Clem qui commence à puiser dans ses dernières forces. Nous sommes en pleine digestion, le soleil tape et le dénivelé est assez important. Nous sommes très contents d’être arrivés et Clem désigne cette randonnée comme la plus difficile que nous avons faite jusqu’ici.

Au départ/arrivée, il y a une plage où nous décidons de nous poser pour récupérer un peu. La dernière navette est encore dans quelques heures, et nous avons mal partout, la baignade sonne comme une bonne idée. L’eau est claire et tranquille, les vagues se cassent au loin, et nous sommes aux pieds des falaises. Nous nous relaxons et l’eau fraîche nous détend.
C’est vraiment la définition du kiffe.

L’heure de prendre la navette arrive et nous faisons quelques stops sur le chemin du retour. Le premier, la très jolie Waiʻoli Huiʻia Church avec une cascade en fond. Un peu plus loin Black Pot Beach, où nous aimerions rester plus longtemps pour là aussi profiter du calme de la mer et de la vue spectaculaire des montagnes. Le dernier arrêt nous permet d’admirer Hanalei Valley qui nous surprend, car on a l’impression de voir un genre de rizières en contre bas.

Plein les mirettes

Le réveil sonne à 5h30, et même si on a bien et beaucoup dormi, c’est toujours difficile de se réveiller avant le soleil.
Aujourd’hui, nous avons réservé une excursion en voilier pour découvrir la côte Na Pali, qui est la principale activité que l’on nous a recommandée. Certains la découvrent à pieds, comme les marcheurs dont on parlait hier, et d’autres par les airs en hélicoptère, ce qui d’ailleurs nous agacent fortement. Sans mentionner l’impact sur l’environnement, cela fait énormément de bruit et perturbe la tranquillité des randonnées auquel nous sommes habitués. Entendre des hélicoptères voler est très fréquent à Hawaï, ils sont omniprésents. On peut aussi s’approcher de cette merveille par voie maritime en bateau ou en kayak. Le kayak est exclusivement possible en été, alors nous avons choisit une excursion en voilier le matin. C’est l’activité qui nous a coûté le plus cher ici, nous en attendons donc beaucoup de ces 5h30 d’excursion.

Le départ est à 7h30 du port, nous avons 1h de route et nous devons arriver 15 min en avance.

Après 1h de navigation, le bateau s’arrête pour que nous fassions du snorkeling, et on doit avouer qu’on n’a pas forcément envie. Il est 8h30, le ciel est couvert et avec le vent, il ne fait vraiment pas chaud.
On se jette cependant littéralement à l’eau pour être sûrs ne pas louper quelque chose.
Au final, l’océan n’est pas plus froid que la température extérieure.
Mav ne reste pas longtemps, car il ne fait finalement pas si chaud que ça, et la visibilité n’est pas des meilleurs. Clem profite de la qualité de l’équipement, ce lui donnent envie de faire du snorkeling plus souvent. Il s’essaye aussi à photographier les quelques poissons présents.

En partant du site de baignade, nous voyons la tête d’une tortue qui vient nous saluer.

La capitaine et son équipe repèrent des dauphins spinner, qui sont derrière nous, et nous ralentissons la vitesse pour pouvoir les observer.
Le capitaine nous explique qu’ils sont littéralement à moitié endormis, ils conservent un hémisphère de leur cerveau éveillé pour leur permettre de se souvenir de remonter à la surface et de respirer. Nous écoutons l’anecdote tout en les regardant s’amuser autour du bateau. La vitesse de celui-ci crée une pression dont ils profitent pour nager sans trop d’effort.

Nous reprenons notre route, mais pas pour très longtemps, car cette fois-ci, ce sont des baleines qui nous font l’honneur de leur présence.

Après les avoir admirés plusieurs minutes, nous reprenons notre route, sans arrêt cette fois, vers notre destination principale.
En chemin, nous avons le droit à des explications sur les côtes que nous longeons et notamment leur création et leur importance pour le peuple hawaïen. Nous admirons le travail de sculptures que la nature réalise, et ce moment est suspendu dans le temps. Le soleil nous fait la surprise de pointer le bout de son nez et nous ne pouvons qu’admirer.

Il est déjà l’heure de repartir, et sur le chemin retour, le chef nous sert le repas cuisiné à l’arrière du bateau. Alors que nous étions en pleine digestion, nous avons eu une nouvelle fois le droit de voir des dauphins, cette fois-ci bien réveillés, car ils étaient en train de chasser.
Ceux-là sont des grands dauphins, différents des premiers. Ils sont moins curieux et ils ne s’approchent pas du bateau. Il est donc difficile de bien les voir. La technique de capitaine consiste à suivre les oiseaux qui profitent de la chasse des dauphins pour eux aussi attraper quelques poissons.

Après ça, le capitaine décide d’augmenter la vitesse et de filer sur l’océan pour rentrer au port, c’est pour le plus grand plaisir de Clem qui a passé 2h à l’avant du bateau, secoué et mouillé par les vagues, en espérant voir plus de baleines. Pas de baleines en vue, mais il s’est amusé à résister à la force de l’eau, un vrai enfant.
Cette matinée nous aura coûté cher, mais nous recommandons ! L’équipage était top, le bateau niquel, le capitaine n’hésitait pas à nous partager des anecdotes et des faits historiques.

Clem a toujours une petite forme, mais de toute façon la journée touche quasiment à sa fin.
Avant de rejoindre notre prochain camping qui se trouve dans les montagnes, nous faisons un crochet par Polihale State Park, une longue plage de sable jaune.
Nous avions un peu peur d’y aller, car l’agence de location nous a mis en garde, certains arbustes ont des épines capables de crever un pneu et aucun véhicule d’assistance ne vient sur cette route. Elle nous explique qu’à la fin, la route se rétrécit, et pour croiser les voitures serrent sur les côtés, c’est là où il y a un risque de crevaison. Nous tentons, en nous disant que si nous ne le sentons pas, on fait marche arrière.
Pour y arriver, nous devons également rouler sur un chemin de terre avec d’énormes trous, et pour les éviter, il faut serrer au maximum sur le côté. Tout le monde fait ça, alors on présume qu’il n’y a pas d’épines. Au final, nous y sommes allés puis reparti sans problèmes.

En prenant de l’altitude et en entrant dans Waimea Canyon State Park, les paysages changent. C’est beaucoup plus vert, et on perd quelques degrés.
Nous voyons quelques panneaux de lookout, et en tournant la tête, par hasard, Mav a l’impression que ces points de vue ne sont pas là par hasard et que le paysage est joli. Nous avons le temps, alors demi-tour, nous nous garons sur le bord de la route.
Et là, nous sommes face à l’une des plus belles vue jusqu’à maintenant. Notre description ne rendrait pas justice à ce que l’on a vu, alors on vous met des photos. On comprend mieux pourquoi il y a des lookout maintenant. Alors on décide d’y aller nous aussi.
Le parking est payant, mais nous nous disons que pour 5 minutes, le temps de prendre des photos, ça devrait le faire.

Cette fois-ci plus de stop avant le camping. Nous changeons de camping aujourd’hui, et nous ne pourrons pas y déplier notre tente de toit car les campings de l’état ne les autorisent pas. Nous devons absolument déplier une tente au sol, qui nous a été fournie dans la location de la voiture.
À notre arrivée, la première chose que l’on fait, c’est donc de déplier la tente, et on doit avouer qu’on a un peu galéré. Pas à la déplier, mais plutôt à savoir quoi faire des différentes pièces qu’il y a dans le sac. Il y a notamment une couverture à mettre sur la tente pour la pluie et nous ne savons pas ce que c’est. Il n’y a pas de réseau, donc impossible de regarder la vidéo que nous a envoyé l’agence. Nous aimerions bien appeler notre copine Fiona, qui à elle beaucoup plus l’habitude de camper. Clem descend au parking voir s’il a plus de réseaux et en attendant Mav a l’impression d’avoir trouvé la couverture de pluie.
Pas sûrs de notre coup, on envoie une photo à l’agence qui nous dit que la bâche que nous avons mise par terre doit être accrochée aux branches par une corde. Comment dire que nous ne savons pas comment faire ça sans corde, et que de toute façon l’emplacement ne le permet pas vraiment, et que nous avons aussi un peu la flemme. L’autre conseil était de ne pas faire dépasser la bâche au sol de la tente pour éviter la création d’une piscine sous la tente. Nous appliquons ce dernier conseil et nous croisons les doigts pour qu’il ne pleuve pas, ou au pire que notre installation cela suffise. En tout cas les fermetures ont l’air étanches, et ça nous convient.

Clem va le premier à la douche, et ce n’est pas sa meilleure douche. L’eau est gelée, il n’y a pas de rideaux, et c’est sale. Alors lorsque c’est au tour de Mav, clairement, nous ne sommes pas sur un bon moment.
Les douches et toilettes ne sont pas réservées au camping et les locaux et touristes du parc les utilisent librement, en ajoutant à cela qu’ils ont certainement jamais été nettoyé vu les toiles d’araignées présentes.

Nous mangeons rapidement et à 19h, nous sommes déjà au lit, c’est de plus en plus tôt !
La pluie arrive dans la soirée et nous prions pour ne pas se réveiller trempés. Nous sommes contents d’avoir une couette, car nous sentons qu’il fait froid dehors. Nous faisons abstraction du brossage de dent, pour une fois, la flemme l’emporte.

Camping & Chill

Il a plu toute la nuit et un peu d’eau est rentrée à l’intérieur, mais rien de très grave alors direction la voiture pour le petit-déjeuner.

On mange nos tartines en rageant sur nos voisins, qui eux ont dormi dans leur van, ce qui n’est pas autorisé, et sont sûrement en train de se faire des œufs et du café dedans. On les envie un peu et on a hâte d’avoir le nôtre en Nouvelle-Zélande.

Le début de matinée a été un peu chaotique. Nous voulions aller randonner, mais nous avons loupé le parking, alors nous avons continué plus loin pour aller voir un point de vue, mais nous avons tourné au mauvais endroit. C’était aussi un point de vue alors nous sommes quand même allés, puis nous avons repris la voiture pour aller voir la Kalalau valley, la vallée des rois, d’un autre angle.
Nous avons quand même hésité à y aller, car il y avait des énormes trous dans la route, et la dernière fois que nous avons pris une route similaire en France, nous avons eu besoin d’un tracteur pour nous sortir de la boue. Cette fois-ci, nous avons un 4×4 et il y avait un point d’intérêt au bout, alors on tente. Au final, ce n’était que la route qui était en mauvais état, et nous arrivons pour voir Kalalau Valley, la vallée que nous avons vu depuis l’océan hier.
Nous nous rendons compte que c’est également le départ d’une marche que Mav avait envie de faire, mais elle fait 13km et nous n’avons tous les deux pas l’énergie.

Alors nous nous rendons au départ de la randonnée initiale.
Nous avons hésité à la faire, car sur AllTrails, l’appli de rando qu’on utilise, elle était notée comme fermée. En lisant la description, nous voyons que c’est parce que le chemin n’est pas entretenu, mais nous décidons de la tenter quand même.
Mav sort pour la première fois ses bâtons pour marcher seulement 10 minutes et à peine 400m tout au plus. En effet, le chemin n’était pas du tout entretenu et nous avions donc peur de ne pas retrouver notre chemin au retour. Mais surtout, nous sommes tombés sur des pancartes qui nous interdisaient le passage et nous n’avons pas eu envie de tester plus loin.

Nous tentons alors une autre randonnée pour emprunter le Waimea Canyon Trail qui va aux Waipo’o Falls. Nous avons profité qu’une dame qui travaille au parc soit présente, pour lui demander si notre permis de camping incluait le prix des parkings, ce qu’elle nous a confirmé.
Alors cette fois-ci, le chemin est bien visible, on commence enfin à marcher. Durant la randonnée, nous avons de jolies vues de la vallée, malheureusement un peu gâchée par le bruit des hélicoptères qui s’approchent de près et sans cesse.

Après cela, nous n’avions rien d’autre de prévu aujourd’hui alors nous sommes rentrés au camping pour profiter de la belle après-midi ensoleillée et se reposer.
Mav a eu l’idée de faire les sandwichs en mode croque-monsieur en utilisant le réchaud. Puis, nous sommes allés au café juste à côté pour que Clem puisse boire un café froid. Mav a profité de la queue pour faire quelques achats à la boutique à côté, et nous nous sommes installés à l’intérieur pour profiter du Wi-Fi.
Le café était trop bruyant (ou nous trop fatigués) et Mav n’avait plus de batterie alors nous sommes retournés au camping.
Nous avons fini l’après-midi a profité du soleil et en rangeant nous nous sommes souvenus que nous avons eu le droit à une poudre, qui mélangée à de l’eau, faisait une pâte à pancake. Alors nous en avons profité pour les cuire, car demain est notre dernier vrai jour et que nous n’avons pas envie de gâcher. Nous en avons profité pour commenter les va-et-vient de nos nouveaux voisins sur le parking pour la soirée.

À la tombée de la nuit, les températures se rafraîchissent et nous mangeons bien au chaud dans la tente. Ce soir pas d’excuse, brossage de dents et bonne nuit en perspective.

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Commentaire(s) à propos de "Hawaï – Kauai la magnifique ⛰️"

  • Catarino Maryvonne le 26/03/2024 21:34

    Ouah pas simple le camping 🫣c’est définitivement pas pour moi.

  • VIDAUD Nathalie le 30/03/2024 17:49

    Très beaux descriptifs de vos aventures.
    Nathalie

  • Victor le 31/03/2024 16:45

    Je vois que ces petites iles réservent plein de surprises. En effet, je pensais que les randos difficiles étaient derrière vous, mais vous en découvrez toujours des nouvelles. Beaucoup d’entre elles débouchent sur de beaux paysages et vous donneront beaucoup à raconter, mais c’est sur qu’avec le cumul de fatigue, sur le moment vous pouvez pas toujours savourer pleinement. Bon en tout cas, vous avez pur avoir un peu de soleil et profiter de la plage. Cal a du vous faire du bien. Aussi, la sortie en mer au milieu des dauphins et des baleines, cela devait être sympa.

  • Maryline le 31/03/2024 19:06

    C’est magnifique. Quels paysages! (et sans les bruits d’hélicoptères). Bravo Maëva pour l’organisation. Vous avez l’air heureux et vivez une expérience unique. Profitez-bien