Hawaï – Entre ciel et océan

Article du 08 février 2024 au 10 février 2024

Un peu d’histoire

Encore un jour sans réveil et ça fait du bien. Aujourd’hui, le programme est calme.

Nous commençons par la visite d’un des sites les plus historique pour l’état d’Hawaï. Le temple Pu’ukohola érigé par Kamehameha I pour l’unification de toutes les îles d’Hawaï sous un même royaume. Nous en apprenons plus sur l’organisation de la société hawaïenne avant sa colonisation et l’histoire de son premier roi.
Nous avons bien fait de le faire en début de matinée, car le site est en plein soleil et nous sentons déjà la chaleur.

Sur la route, nous croisons énormément de vélos de route qui s’entraînent pour le triathlon, ou qui font probablement du vélo-tourisme.
Nous avons ensuite fait un stop dans une usine de noix de Macadamia. Clem s’est régalés des échantillons et voulait en acheter, mais le prix a refroidi ses ardeurs. Alors nous avons continué notre journée vers le nord de l’île en longeant la côte.
En regardant, l’océan Clem a vu un jet d’eau au loin puis une queue et une tâche d’écume. Nous avons donc passé le trajet à regarder l’océan (Clem avec un œil sur la route tout de même) pour repérer les apparitions des baleines.

Au fur et à mesure, nous laissons le paysage volcanique dderrire nous pour une nature plus verte. Nous avons continué avec l’histoire de Kamehameha en nous rendant dans sa ville natale, dans laquelle une statue a été érigée.
Nous reviendrons plus tard dans cette même ville pour le déjeuner.

Avant de manger, nous sommes allés au bout de la route pour voir un point de vue sur la Vallée de Pololū. Il y a un chemin de randonnée pour descendre à une plage, pas long mais très pentu qui nous rappelle Koko Crater (lien vers l’article), et comme nous n’avions pas nos chaussures, et surtout pas l’envie de faire du sport aujourd’hui, nous sommes allés manger.

Nous avons commandé apparemment l’un des meilleurs fish & chips de l’île préparé avec du poisson frais péché le matin et des tacos. Nous nous sommes régalés et pour digérer nous sommes allés faire les boutiques dans la ville juste à côté.
La vendeuse de la première boutique avait visiblement envie de parler, car nous avons discuté une quinzaine de minutes sur la beauté de l’île d’Hawai’i, notre vie en France et son envie de découvrir l’Europe.

Nous reprenons la route des baleines et décidons de s’arrêter pour les voir de plus près. Une dame nous conseille d’aller dans l’eau et nager au large pour les entendre, mais elle nous explique qu’où nous sommes les vagues peuvent être si grosses qu’elles emportent parfois des voitures du parking. Ce qui ne nous donne pas particulièrement envie d’essayer d’entendre les géantes à bosses.
À la place, nous sommes allés sur un autre point de vue, en hauteur cette fois, pour espérer avoir une meilleure vue. Pour arriver au point de vue, nous devions longer des résidences luxueuses, certainement des locations, et nous nous disons que certaines personnes doivent être vraiment très riches. Malheureusement, les seules baleines que nous voyons ici sont assez loin et Mav choisit d’aller sur une plage pour aller voir le coucher de soleil, car Clem pourrait rester tout le reste de l’après-midi à les attendre.

La plage est dans un complexe hôtelier de luxe qui ressemble à un véritable village, on y trouve un centre commercial, un supermarché et une station-service. Nous ne nous sentons pas forcément à notre place avec nos sacs et chaussures de randonnée.
En attendant le coucher de soleil, nous écrivons des articles puis admirons le joli spectacle avant de rentrer.

Sur le chemin en direction du parking, nous tombons sur des chatons trop mignons, un peu curieux mais craintifs. Un gris qui se camouflait parfaitement avec la couleur des roches attirait l’attention de Mav qui lui faisait penser à son chat.

À contrecœur, nous avions dû acheter des plats préparés la dernière fois et nous ne nous sommes pas régalés. Après avoir fait cuire plus d’une heure des lasagnes au four, le fromage du dessus était tellement chimique qu’il n’avait pas fondu 🥴

En demi-teinte

Nous chargeons les sacs dans la voiture, car nous dormons en auberge ce soir. Au revoir le lit confortable et à bientôt l’intimité, mais nous nous consolons avec l’espoir de pouvoir cuisiner.

Après avoir conduit 10 minutes, le voyant moteur s’allume sur le tableau de bord et nous nous garons sur le bas-côté pour appeler l’agence de location. Nous sommes agacés d’avoir encore un problème avec cette voiture.
Nous choisissons d’aller à l’agence directement, plutôt d’attendre que quelqu’un nous amène une nouvelle voiture, en espérant que ça ira plus vite. En arrivant, nous changeons immédiatement de voiture et Clem est un peu déçu, car nous n’avons plus la plus grosse voiture sur le parking, mais nous espérons que celle-ci fonctionne.
On se console en se disant qu’il fait encore beau aujourd’hui et on se rend compte qu’on ne se plaint plus de la météo depuis quelques jours car depuis qu’on est arrivés sur l’île de Big Island, nous sommes chanceux.

En reprenant la route, le paysage change complètement, nous traversons des forêts et n’avons plus du tout l’impression d’être sur la même île.
Avec deux heures de retards, nous arrivons à notre premier stop, le point de vue de la Vallée de Waipiʻo. C’est dans cette vallée que Kamehameha I a grandi.
Sur le chemin, nous avions vu des vendeurs de fruits et nous nous y arrêtons au retour pour que Clem puisse enfin goûter de vraies noix de coco dont Mav raffolait quand elle était en Asie. Après avoir bu l’eau, nous avons mangé la chair, ce que Clem a adoré.

Alors que nous nous rendons à Laupahoehoe Beach Park pour pique-niquer, nous avons pris un auto-stoppeur quelques minutes pour le rapprocher de la ville. Ce dernier, nous demande si nous avons ressenti le séisme qui a eu lieu sur l’île ce matin, ce à quoi nous lui répondons que non, et nous passons à autre chose, en étant pas très sûr de pourquoi il avait posé la question.

Une fois arrivé à destination, nous nous rendons compte que la plage n’est que dans le nom. Mais nous trouvons des tables pour manger et nous déjeunons face aux vagues de l’océan qui se déchaînent contre les rochers.

Ensuite, direction deux cascades à une demi-heure de route. Mav a un coup de barre alors elle en profite pour se reposer, tandis que Clem conduit sur une route qui offre une vue incroyable sur l’océan.

En arrivant, le parking est au prix de 10$, mais complet. Nous prenons le risque de nous garer, comme d’autres, sur le bord de la route, mais d’économiser ces 10$. En plus du parking, l’entrée est de 5$/personne, c’est courant ici de devoir « payer pour voir la nature », ce à quoi nous ne sommes pas habitués.
Nous pensons que le guichet et à quelques pas après le parking. En avançant, nous ne voyons pas de guichet et aucun des 3 agents présents à l’entrée ne nous a arrêté pour nous demander de payer, alors nous continuons notre chemin. Et nous avons plutôt bien fait. La première cascade est en chute libre de plusieurs dizaines de mètres de haut, et même si nous ne voyons pas la fin, elle est plutôt jolie. La deuxième par contre, ne vaut vraiment pas le détour. Nous l’avons même raté dans un premier temps, car elle n’est pas indiquée. C’est en revenant vers l’entrée que Clem se rend compte que nous n’avions vu qu’une cascade.

Bien contents d’avoir économisé $20, nous nous arrêtons (à la demande expresse de Mav) dans une ferme, que Clem a vu à l’aller, qui propose de venir câliner des « biquettes » gratuitement. Il n’y a pas besoin d’expliquer à quel point cela l’a rendue heureuse.

Nous décidons de ne pas nous arrêter à l’Hawai‘i Tropical Bioreserve & Garden car l’entrée est à 30$ 😬. Le dernier stop sera donc à Onomea Bay, que l’on peux atteindre en 10 min à pieds.
En se garant, nous remarquons que la voiture de devant a la vitre arrière cassée. Nous demandons aux locataires dépités ce qu’il c’est passé, ce à quoi ils nous expliquent que leur vitre s’est faite cassé pendant qu’ils sont allés voir la baie, en 20 min. Cela nous étonne, car il y a plusieurs autres voitures garées là et qu’il y a beaucoup de turn over au vu de la courte durée de la marche, mais nous ne préférons pas prendre de risques et Clem reste dans la voiture pendant que Mav va voir la baie.
La vue était plutôt jolie, mais ne valait pas le coup de se faire casser sa vitre. Alors après avoir montré les photos à Clem, nous allons en direction de l’auberge à Hilo.

Quand nous arrivons dans la ville, nous ne sommes pas des plus à l’aise. Il y a beaucoup de bâtiments désaffectés et cela tranche beaucoup avec le village où nous dormions depuis 3 jours.
Après avoir posé nos affaires, nous faisons un tour de l’auberge et Mav se rend compte que les douches ne sont pas verrouillables. C’est-à-dire qu’il y a 2 douches et un WC, séparés par un rideau, dans une pièce où la porte se pousse, mais ne se ferme pas. Instantanément, nous ne sommes pas confortables avec cette idée et réfléchissons à comment limiter les douches.

Nous allons faire les courses à pied et l’atmosphère de la ville n’est toujours pas plus agréable à la tombée de la nuit. Comme nous sommes dans une des grandes villes de l’île, il y a de nouveaux des sans-abris, et avec eux, nous sommes les seuls à marcher dans les rues. Le supermarché que nous avions repéré était un grossiste alimentaire où il y avait des paquets assez gros pour nourrir l’auberge entière. Nous avons tout de même réussi à faire quelques courses pour pas cher et avons complété avec un second magasin.

Sur le chemin du retour, Clem avoue à Mav qu’il a un peu le mal du pays. Il commence à être un peu nostalgique et ses habitudes françaises lui manquent. Ce n’est pas toujours facile et agréable d’être « vagabon » surtout pour une première. Cela fait en effet 1 mois que nous sommes partis de France, et deux semaines que nous sommes à l’autre bout du monde.

Nous étions trop contents, car à l’auberge, il y avait de l’huile d’olive et des épices à disposition, ce qui a permis a Mav de cuisiner des (très bonnes) pâtes bolognaise.
Pendant ce temps, Clem s’est renseignée, sur le tremblement de terre qu’il y a eu ce matin, car nos parents, un peu inquiets car eux avaient eu l’info, n’avaient pas de nouvelles. En effet, c’était tout de même un tremblement de terre de magnitude 5,7 qui a été ressenti à 160 miles (environ 250km). En regardant l’heure, nous constatons que nous étions en voiture à cette heure-ci, et en nous renseignant, nous apprenons que la vitesse de la voiture peu atténuer le ressenti d’un tremblement de terre. Les sites gouvernementaux, expliquent que le risque de tsunami ainsi que le réveil d’un volcan également ont été écarté, ce qui rassure tout le monde.

En dégustant le plat de Mav, nous essayons de voir pour écourter notre séjour dans cette auberge où ne sommes pas confortables. En plus de cela, nous avions presque vu tout ce que nous souhaitions dans le coin, le reste ne devant nous prendre qu’une demi-journée.
Malheureusement, le remboursement n’est plus possible et les logements restants sur l’île sont bien trop cher. Alors nous n’avons pas le choix que de garder ce planning, et feront sûrement des allers-retours les prochains jours pour découvrir d’autres parties de l’île.

La tête au dessus des nuages

Nous avons été un peu médisants hiers soir. Nous avons finalement bien dormi, nos compagnons de chambre sont discrets, et à part la clim qui est très bruyante, nous nous sommes assez bien reposés. Le problème reste toujours les salles de bains, qui sont au nombre de 2 pour plus de 20 personnes. Clem a dû attendre 20 min pour aller aux toilettes ce matin. Heureusement, nous remarquons finalement qu’il y a un bien un loquet sur la porte des douches ce qui va nous permettre de prendre des douches sereinement.
À peine réveillée, Clem fait lire les derniers articles à Mav pour validation, puis nous allons petit déjeuner.

Il est déjà presque midi quand nous quittons l’auberge pour Wailoa River State Recreation Area que Mav avait noté. Nous avons du mal à trouver l’entrée et nous sommes toujours autant blasé que la veille de cette ville.
Nous ne comprenons pas pourquoi tous les blogs/sites de voyages que nous avons lu nous recommandent de dormir ici. L’explication la plus rationnelle est sa proximité avec le Parc National des Volcans, un des endroits phare de l’île, à seulement une heure cette ville offre un large choix de logements, contrairement au village à proximité qui doit être rapidement saturé et cher en été.
Nous trouvons finalement une entrée à ce parc qui regroupe des mémoriaux, peu extraordinaire pour nous.

Nous choisissons d’aller prendre la voiture pour aller à une plage qui elle s’avère assez sympa. C’est une baie et il est samedi, alors les familles se retrouvent sous des barnums pour faire un barbecue.

L’odeur de leurs repas nous a mis l’eau à la bouche et nous décidons d’aller manger un bout. Sans le savoir nous sommes allés dans un restaurant hawaïen primé depuis plusieurs années consécutives.
Il faut avouer que nous ne savons pas trop pourquoi, car avons bien mangés, mais rien d’exceptionnel, à part les quantités déraisonnables des plats.

Nous avons digéré en allant à une cascade connue pour faire apparaître un arc-en-ciel lorsque l’alignement du soleil le permet. Malheureusement, pas d’arc-en-ciel pour nous, et avant d’aller à l’attraction de la journée, nous nous arrêtons à une seconde cascade en chemin.

À notre arrivée, nous voyons 3 policiers de la « conservation ». Leurs tenues vertes, laissent deviner que leur rôle est lié à la protection de la nature, ces derniers sont tout même équipés d’un pistolet, d’un couteau et d’une matraque. Sans trop comprendre la raison de leur présence, ils n’ont pas l’air inquiet de notre venue. En s’avançant, nous comprenons que quelqu’un est passé par-dessus les barrières pour se baigner dans la cascade, malgré les nombreux panneau l’interdisant.
Pendant que Mav est aux toilettes, Clem, un peu curieux de savoir ce qu’il va se passer, écoute à une certaine distance. Nous n’avons pas eu le fin mot de l’histoire, mais nous pensons que cela s’est terminé par une simple amende, car les policiers plutôt pédagogue lui ont expliqué les risques qu’il prenait et les moyens à déployer qui seraient nécessaires pour le sauver si nécessaire.

Après cette intrigue, nous prenons la route du Mauna Kea, pour admirer le coucher de soleil. Le Mauna Kea est un ancien volcan et c’est le point le plus haut de l’archipel (4207 mètres), sur lequel des télescopes parmi les plus puissants du monde ont élu domicile.
C’est également la plus haute montagne du monde, comme Clem aime le rappeler, avec une base à -6000m sous le niveau de la mer, le total fait donc 10 000m, soit plus que l’Everest.
Ce sommet est la raison pourquoi nous avons loué un 4×4. En effet, la voiture offre une meilleure traction et de meilleurs freins moteur. De plus, il est obligatoire de s’arrêter 30 minutes à 2 800m d’altitude pour s’acclimater et éviter au maximum le mal des montagnes une fois en haut. Toutes ces conditions mettent dans l’ambiance, et même si nous n’avons pas de raison de s’inquiéter, nous appréhendons un peu comment l’ascension et la descente vont se passer.

Sur la route, le ciel devient de plus en plus gris et quelques gouttes commencent à tomber. Nous espérons que le sommet est lui dégagé. Quelques mètres plus tard, un épais brouillard obstrue la vue et rend la conduite plus difficile.
Pris d’une légère panique, nous nous rendons alors sur le site internet du parc, mais nous lisons que les conditions météorologiques sont parfaites au sommet alors nous poursuivons la route.
Nous sommes passés de 27°C à 13°C en une quinzaine de minutes et nous rendons compte à quelle point les nuages sont épais.

En arrivant au visitor center, le point à 2 800m, nous sommes étonnés d’apprendre que personne ne vérifie que nous nous arrêtons le temps nécessaire. Bien entendu, nous n’avons pas pris de risque et avons scrupuleusement respecté les 30 minutes. Le seul contrôle que nous avons s’effectue avec un ranger qui nous donne les recommandations pour monter et descendre avec le 4×4 pour éviter la chauffe des freins.

L’ascension se passe plutôt bien malgré les pentes assez prononcés du chemin. Au final la route est plutôt bonne et il y a beaucoup moins de trous que sur les chemins du premier jour !

Au sommet, nous sommes au dessus d’une mer de nuages à perte de vue, et nous arrivons à peine à entrevoir l’océan.
En sortant de la voiture, nous marchons et ressentons un peu d’essoufflement et un léger mal de tête, mais rien de grave. Nous faisons des petits pas pour s’approcher de plus près des télescopes, et en 1h nous étions acclimatés.
Sous les conseils de la vendeuse à qui nous avons parlé plusieurs minutes il y a quelques jours, nous avons pris un chocolat chaud ce midi dans un thermos, ce qui a permis de nous réchauffer contre le vent glacial.
Un petit peu avant 18h27, tout le monde brave le froid pour prendre les plus belles photos du coucher de soleil et le spectacle est magnifique.

Nous avions pour consigne de descendre avant 18h47, alors nous partons assez vite pour éviter le rush, mais la beauté du paysage ne s’arrête pas là.
Pendant la descente, nous somme accompagnés d’un crépuscule qui se dégrade du orange au jaune pour devenir rose/violet et se fondre dans le bleu foncé de la nuit. Cette couleur de lumière, impossible à retranscrire en photo est magnifique.

Lors de la descente, nous comprenons mieux l’utilité du 4×4, en effet les pentes sont tels que le retour se fait uniquement en frein moteur et en jouant avec les vitesses 2 et 3.
De retour au visitor center, un ranger prend la température de nos freins pour s’assurer que ce n’est pas risqué pour nous de repartir. Ce dernier est assez étonné et félicite Clem, d’avoir bien géré la descente sans surchauffe, ce dont il est pas peu fier. 😎

La présence de télescopes n’est pas innocente, le Mauna Kea est une montagne loin de toute habitation et généralement au dessus des nuages, ce qui lui permet d’être un lieu privilégié pour observer le ciel en l’absence de pollution lumineuse. Nous avions donc penser à prendre des vêtements chauds pour rester observer le ciel étoilé.
Après avoir passé plusieurs minutes à régler les paramètres de l’appareil photo de Mav, nous arrivons à faire des photos qui rendent plus ou moins justice à la féerie que nous avons la chance d’observer.

Au bout d’une heure nous décidons de reprendre la voiture car nous avons 40 min de route pour rentrer.
Nous sommes contents de n’avoir qu’à réchauffer les restes des succulentes pâtes bolo de Mav avant d’aller dormir.

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Commentaire(s) à propos de "Hawaï – Entre ciel et océan"

  • Victor le 05/03/2024 20:00

    Vous avez vu de supers paysages et surtout le soleil est au rdv ce qui donne de magnifiques couchers de soleil. Heureusement que le séjour à l’auberge s’est mieux terminé qu’il n’avait commencé car c’est sur qu’après les journées que vous passez, un peu de confort est le bienvenu pour reprendre ses forces. En tout cas, c’est rassurant de voir que malgré certaines situations difficiles, vous restez lucides et ne prenez pas de risques démesurés. Vous avez encore tellement de choses à voir et à nous raconter, alors restez pudents et bonne continuation!

  • Maryvonne le 05/03/2024 20:52

    Félicitations pour les photos de la voûte céleste