Notre compagnon de route

Nous vous présentons donc Gandalf, une Toyota Hiace de 1998 automatique avec moins de 200 000 km.

Nous l’avons choisi, car il a l’avantage d’avoir un toit haut, ce qui apporte plus de confort et de rangement ce qui nous paraissait essentiel pour l’année à venir.
Nous avons pu personnaliser l’intérieur selon nos goûts, ce qui nous permet de s’y sentir mieux.

Nos premiers ressentis de conduite

La conduite à gauche n’était pas une grande appréhension pour nous, mais il faut tout de même être vigilant.
Mav a quand même plus de facilité que Clem qui s’est trompé (1 fois 🙄) de côté de la route. Sinon le van est très facile à conduire, il se gare sur toutes les places, car il n’est pas très large et dépasse en longueur qu’occasionnellement, car les places sont plutôt longues ici.

Les seuls inconvénients sont la jauge de carburant qui n’est pas précise et fait le yo-yo lorsque ça monte ou descend, ce qui ne facilite pas la gestion du remplissage du réservoir. Le second point est l’alarme de recul qui sonne à l’extérieur lors d’une marche arrière, ce qui n’est pas très discret, mais nous avons trouvé une astuce pour qu’elle ne sonne plus, il faut allumer les feux.
La glacière électrique, qui nous sert de frigo, chauffe nos aliments dans le placard, mais là aussi nous avons réglé la température, ce qui sollicite a nettement réduis la chaleur.
Il commence aussi à se faire vieux est a donc des problèmes de fuites, comme raconté dans l’article précédent.

La conclusion que l’on a faite de ces 3 premiers jours, c’est que Gandalf nous donne du fil à retordre. Il faut ainsi qu’on apprenne à l’appréhender, et qu’on prenne nos marques dans notre nouvelle vie de nomade.